Dans cette exposition, qui a été ouverte au public du 1er au 19 juillet, l’artiste marocain s’inspire du patrimoine architectural hispano-maghrébin, en se centrant sur les lieux emblématiques des villes andalouses et marocaines telle que la province de Grenade, en faisant appel à l’art de l’Alhambra, l’une des merveilles mondiales.
Dans ses peintures, Mohammed El Morabet conjugue les ornements mosaïques avec les formes géométriques traditionnelles et les paysages naturels, pour ainsi rendre au savoir-faire des artisans de l’époque médiévale dont les œuvres ont contribué à la splendeur d’Al-Andalus qui perdure pendant des siècles.
L’exposition « Les pas d’Al-Andalus » nous présente des œuvres qui évoquent les fameuses mosaïques qui décorent les murs de l’Alhambra. Elle nous mène à apprécier les expressions artistiques communes aux deux rives de la Méditerranée durant la période médiévale, où les couleurs vives assorties dans des figures géométriques traditionnelles et connectées avec des paysages naturels et abstraits pour former des compositions polychromatiques et polyformes.
.